Parce qu’on est plus autonome
A 20 ans : en général, on vit encore chez ses parents. On est chouchoutée, certes, mais on doit rendre des comptes.
A 30 ans : on bosse et on s’assume.
Le bémol ? Parfois on galère…
Parce qu’on est moins torturée
A 20 ans : qu’est-ce que je vais faire de ma vie ? Et les 250 questions qui vont avec. C’est le redoutable moment où l’on est censée choisir « sa voie ».
A 30 ans : on ne sait pas forcément encore ce qu’on veut vraiment faire, mais on a au moins de l’expérience dans quelque chose. Du coup, on est dans le concret, dans l’action.
Le bémol ? Il faut avoir le cran d’admettre qu’on est parfois dans une voie qui ne nous correspond pas.
Parce qu’on a trouvé son style
A 20 ans : on tente ! On suit la mode avec des succès… et des échecs !
A 30 ans : on sait ce qui nous va ou pas. En un clin d’œil, on devine si une tenue est faite pour nous.
Le bémol ? On veut des pièces de meilleures qualités et donc plus chères.
Parce qu’on sait mieux ce qu’on veut
A 20 ans : amour, boulot, fréquentations… on croit savoir ce qu’on veut mais on change souvent d’avis. Et ce n’est pas plus mal.
A 30 ans : on sait aussi surtout ce qu’on ne veut pas. Et c’est déjà pas mal !
Le bémol ? On devient plus exigeante avec les déconvenues qui vont avec.
Parce qu’on ose plus
A 20 ans : on manque d’expérience, de légitimité et forcément de confiance en soi. Bref, on tâtonne, et parfois, on passe à côté de certaines choses.
A 30 ans : on ose dire non ! Et on se donne les moyens quand on veut quelque chose, car on sait qu’on peut le faire.
Le bémol ? On se frotte de temps en temps à plus « grande gueule » que soi.
Parce qu’on est dans la réalisation de ses projets
A 20 ans : on vit au jour le jour, en essayant de trouver un sens à tout ça.
A 30 ans : bébé, mariage, carrière, appartement… peu importe l’ordre, on est dans la réalisation de tout ce dont on rêvait il y a 10 ans.
Le bémol ? Qui dit projets dit responsabilités… s’il y a bien quelque chose qui manque, c’est l’insouciance.
Parce qu’on a moins un cœur d’artichaut
A 20 ans : on est folle amoureuse de ce garçon qu’on a croisé trois fois. On pleure pendant trois jours parce que Raphaël a préféré un week-end avec ses potes qu’avec nous. On pense qu’on ne se remettra jamais de cette rupture.
A 30 ans : on sait qu’on mérite le meilleur. Soit on l’a trouvé, soit on ne perd plus de temps avec celui qui n’a pas compris qu’on le valait bien.
Le bémol ? La pression de l’entourage qui s’inquiète si on est toujours célibataire.
Parce qu’on se sent plus belle
A 20 ans : on est obsédé par son profil, ses trois kilos en trop, ses cheveux filasses…
A 30 ans : on connaît mieux ses atouts et on dompte mieux ses complexes. On a même appris à les aimer parfois.
Le bémol ? Attention à ne pas confondre mieux dans sa peau et laisser aller.
Et il paraît que c’est encore mieux après ! La preuve, 40 ans, c’est le nouveau 30 ans !
Source Article from http://www.marieclaire.fr/,pourquoi-on-est-mieux-a-30-ans-qu-a-20-ans,735762.asp
Source : Marie Claire : Bien-être