Les héros d’action ont toujours eu une place de choix à la télévision. Héritées des serials qui étaient diffusés dans les salles de cinéma avant l’avènement du petit écran, leurs aventures étirées de semaine en semaine ont tout pour faire rêver les petits comme les grands.
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Superman – The Adventures of Superman (1952-1958)
Certainement l’un des premiers grands héros de la télévision, George Reeves incarna Superman jusqu’à son mystérieux décès. Plus fort qu’une locomotive et plus rapide qu’une balle de revolver, c’est malheureusement d’un coup de feu que le célèbre acteur mourra en 1958. Meurtre ou suicide? C’est à cette question que le film Hollywoodland (avec Ben Affleck dans le rôle du comédien) tenta de répondre, mais en vain…
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Doctor Who – Doctor Who (1963-1989; 2005 à aujourd’hui)
Doctor Who fait preuve d’une étonnante longévité. Des années 60 jusqu’à aujourd’hui, le docteur un peu fou nous a présenté un univers toujours plus complexe, où ses différentes incarnations peuvent se croiser d’une dimension à l’autre pour le plus grand plaisir des érudits de la série. Un must pour les amateurs de science-fiction saugrenue.
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Batman – Batman (1966-1968)
Si la simple vu du Batman des années 60 suffit aujourd’hui à faire pouffer de rire le plus niais des spectateurs, nombreux sont ceux qui oublient que la série kitsch maquillée à coup de « KAPOW! » n’a jamais été autre chose qu’un exercice de style sur le pop art fort réussi. Preuve en est, cette célèbre couverture du Esquire où Andy Warhol et Nico posent tous deux en Robin et Batman!
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Steve Austin – The Six Million Dollar Man (1973-1978)
L’homme bionique préféré des enfants des années 70 était increvable. Blessé lors du test en vol d’un nouvel astronef, l’ancien astronaute perd l’usage de ses jambes, de son œil gauche et du bras droit pour les retrouver à l’aide de prothèses à la fine pointe de la technologie. Pas seulement une série d’anticipation, The Six Million Dollar Man présentait aussi son lot de réflexions sur les dangers de toute forme de technocratie.
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Hulk – The Incredible Hulk (1978-1982)
Bien avant les Hulk numériques qui abondent aujourd’hui au cinéma, il y avait Lou Ferrigno, cet Hulk en chair et en os, impressionnant de carrure et de jeu qui a fait rêver bien des gamins durant cinq saisons et six téléfilms! Jusqu’au Avengers de 2012, le comédien prêtait d’ailleurs sa voix à la bête sur grand écran.
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Michael Knight – Knight Rider (1982-1986)
Vous êtes épatés par votre téléphone (ou votre frigo) intelligent? Vous regardez d’un œil curieux la venue des voitures intelligentes? Replongez plutôt dans Knight Rider (plus connu en français sous le titre de K 2000) où Michael Knight (le très « démodable » David Hasselhoff) conduit la première voiture intelligente et indestructible de la télévision. Du bonbon bien rétro pour les fans de bolides.
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Mr. T – The A-Team (1983-1987)
Véritable icône des gros bras des années 80, Mr. T a rendu mythique le A-Team, cette équipée sauvage d’anciens soldats devenus mercenaires à la suite d’une condamnation pour un crime qu’ils n’ont jamais commis. Parfait retour à l’époque des G. I. Joe, Mr. T et ses gros bijoux d’or ceinturant ses jointures ont intimidé plus d’une crapule.
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MacGyver – MacGyver (1985-1992)
Plus original que ses compatriotes musclés, MacGyver a plutôt le profil du scientifique débrouillard, toujours armé de son fidèle couteau suisse et de « tape ». Ses capacités à trouver des solutions pacifiques et inventives devant les situations les plus périlleuses l’ont consacré dans la culture populaire. Pas si pire pour un fonctionnaire.
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Robert McCall – The Equalizer (1985-1989)
Les années 80 sont une vraie mine d’or pour les fans de séries d’action. Celle-ci, récemment reprise avec Denzel Washington dans le rôle-titre, mérite d’être redécouverte. Cet espion anglais et retraité mène des enquêtes, des filatures et autres missions dangereuses pour une mystérieuse organisation américaine à la solde de l’état. Imaginez un James Bond à la retraite s’exécutant dans les pires bas-fonds de l’Amérique et vous obtiendrez The Equalizer : la preuve qu’il n’y a rien de mieux que le flegme anglais pour secouer les stéréotypes américains.
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Hercule – Hercules : The Legendary Journeys (1995-1999)
Véritable culte des années 90, la série Hercules a fait de Kevin Sorbo une star pour une horde de gamins qui rêvaient eux aussi de lutter contre des hydres et des centaures dans un décor qui, malgré toute la bonne volonté du monde, ressemblait à des cabanes en bois plantés en plein milieu d’un petit boisé urbain.
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Buffy – Buffy the Vampire Slayer (1997-2003)
Avez-vous remarqué à quel point notre palmarès manquait de femmes jusqu’ici? Tout changea en 1997, lorsque Joss Whedon (aujourd’hui célèbre pour être à la barre de la saga Avengers) décida de récupérer le sempiternel show d’école secondaire pour en faire le théâtre d’une héroïne brillante et surpuissante. Chasseuse de vampires invétérée, elle a bouleversé le paysage télévisuel en prouvant aux producteurs de partout qu’une femme pouvait très bien être à la tête d’une série à succès.
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Angel – Angel (1999-2004)
Dans la foulée de Buffy, le personnage d’Angel s’attira bien assez tôt l’attention des fans pour se mériter une série à lui seul. Dans un Los Angeles très peu recommandable, des démons et vampires règnent en rois et maîtres via une firme de droit sur laquelle ils ont la mainmise. Et c’est Angel, cet ancien vampire ayant regagné son âme humaine, qui se mettra en travers de leur chemin.
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Jack Bauer – 24 (2001-2010)
Jack Bauer et ses missions chronométrées ont réussi à trouver le parfait équilibre entre la série grand public diffusée à heure de grande écoute et le thriller d’espionnage ambitieux. Explosions, poursuites à travers le monde, même un président noir avant l’arrivée d’Obama, 24 a une bien longue liste d’influences et d’impacts sur la culture populaire. Récemment, une minisérie permit aux téléspectateurs de poursuivre les aventures de l’agent.
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Clark Kent – Smallville (2001-2011)
Il y a une époque pas si lointaine où l’idée même d’investir des millions pour tourner les aventures d’un super-héros en aurait fait pouffer de rire plus d’un. En 2001, après les déconfitures successives des Batman (rappelez-vous de celui avec Arnold Schwarzenegger dans le rôle de Mr. Freeze!) et un premier volet des aventures de X-Men plus ou moins convaincant, rien n’était moins aguicheur. Et pourtant, Smallville, en privilégiant une histoire axée sur les années de high school de Clark Kent s’en tira avec d’épatantes cotes d’écoute. Encore aujourd’hui, il s’agit de la série de science-fiction détenant le record de longévité.
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Alias – Alias (2001-2006)
C’est en prenant beaucoup de notes durant l’écoute du Buffy que J. J. Abrams semble avoir eu l’idée d’Alias, cette héroïne qui, à sa manière, allait réinventer le thriller d’espionnage. À l’heure où Jack Bauer préférait les récits ancrés dans les tensions géopolitiques des années 2000, Alias, pour le meilleur et parfois pour le pire, a préféré suivre la voie de la science-fiction, des nouvelles technologies et des gadgets futuristes.
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Lincoln Burrows – Prison Break (2005-2009)
Condamné à mort pour le meurtre du frère du Vice-président américain, Lincoln attend son destin sur la ligne verte tandis que son frère à lui, un brillant ingénieur, tente de le faire s’échapper. Saga de frères comme on en a rarement vu à la télévision, Prison Break s’est essoufflé en cours de route et a pris fin au terme de sa quatrième saison.
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Sarah Connor – Terminator : The Sarah Connor Chronicle (2008-2009)
Située après les événements du second volet de la saga Terminator (en faisant donc fit des troisième et quatrième films), cette série de courte durée a néanmoins brillé par son écriture et la qualité de ses interprétations.
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nikita
Nikita – Nikita (2010-2013)
D’abord connue pour ses apparitions au cinéma, Nikita est une espionne et assassin hors pair, qui s’est donnée comme mission de mettre à terre les pouvoirs politiques et scientifiques qui l’ont entraîné à devenir le « monstre » qu’elle est aujourd’hui.
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Rick Grimes – The Walking Dead (2010 à aujourd’hui)
Policier exemplaire, Rick se réveille un matin dans une chambre d’hôpital après une intervention qui a mal tourné. L’immeuble est ravagé, la ville l’est encore plus et partout autour, les morts se lèvent et marchent. De tourmente en tourmente, ce chef de bande mènera ses compagnons à travers les pires horreurs que leur donne à voir le monde en déconfiture de The Walking Dead.
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Spartacus – Spartacus (2010-2013)
Ayant comme prémisse de raconter les exploits de l’esclave devenu gladiateur Spartacus, la série a connu son lot de difficulté, à commencer par la mort de sa star Andy Whitfield en 2011 après la diffusion de la première saison, mais aussi à de constants décalages avec son public peu habitué à toutes ces tournures latines intégrées aux dialogues. Ajoutez à cela des scènes d’une violence terrible et de la nudité à revendre et l’on s’étonne que la série ait pu perdurer quatre saisons durant.
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Jon Snow
Jon Snow – Game of Thrones (2011 à aujourd’hui)
Fils illégitime d’Eddard Stark, Jon Snow ne l’a pas eu facile dans Game of Thrones (à l’instar d’à peu près tous les personnages, me direz-vous!). Devenu depuis ranger à Castle Black, le jeune « bâtard » que tout le monde se plaît à malmener est sans aucun doute l’un des personnages les plus passionnants de la télé contemporaine.
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Green Arrow – Arrow (2012 à aujourd’hui)
Emblématique de la renaissance de la figure du super-héros dans la culture populaire, ce Green Arrow s’inscrit dans la lignée des Dark Knight de Christopher Nolan. Un vigilant masqué, sombre et constamment taraudé par des dilemmes moraux et dont la vertu inébranlable est la suivante : protéger sa ville des malfrats qui voudraient la faire sombrer dans le chaos.
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Flash – The Flash (2014 à aujourd’hui)
Comme quoi la fièvre super-héroïque s’en finit plus! Cette fois-ci, c’est le célèbre Flash qui fait un retour très attendu après près de 25 années passées loin des projecteurs (certains se rappelleront avec émoi des épisodes du début des années 90). Cette fois plus jeune et certainement plus impressionnant visuellement, ce Flash répond à Green Arrow et fait partie intégrante du plan de Warner Bros/DC Comics d’avoir un univers cohérent au petit écran.
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Agent Coulson – Agents of S.H.I.E.L.D. (2013 à aujourd’hui)
L’agent Coulson qui avait été si important dans l’assemblage des Avengers a été tué froidement dans le premier opus mettant en vedette l’équipe des héros de la Marvel. Flairant l’opportunité, la compagnie l’a ressuscité et l’a mis à la tête d’un groupe d’élite de S.H.I.E.L.D.
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Daredevil – Daredevil (2015 à aujourd’hui)
Preuve de l’hégémonie des super-héros dans la culture populaire d’aujourd’hui, l’arrivée d’un personnage aussi méconnu (et intéressant, il faut dire) que Daredevil sur les convoyeurs de Netflix a de quoi surprendre le plus fervent geek. Et pourtant, cette transposition saluée par le public et la critique a non seulement fait oublier rapidement le médiocre film qui mettait en vedette Ben Affleck, il a aussi prouvé que cette « mode » n’était pas près de disparaître.
Source Article from http://www.msn.com/fr-be/divertissement/tv/les-plus-grands-h%C3%A9ros-d%E2%80%99action-de-la-t%C3%A9l%C3%A9/ar-BBk1KhK?srcref=rss
Source:MSN Belgique – Hotmail, Outlook, Skype, actualité, photos et vidéos