Ce n’est pas un scoop : en plus de déstabiliser vos interlocuteurs, les crises de larmes peuvent parfois vous aider à obtenir certaines choses comme un rab de coulis caramel ou vous faire sauter une contravention. Alors on ne va pas conseiller de vous mettre à pleurer à tout bout de champ -ça serait mal venu- mais bon si vous sentez les larmes monter, parfois laissez-vous aller.
Moins d’amendes dans les transports
« Je ne fraude jamais, sauf cette fois où je suis allée en banlieue pour un rendez-vous professionnel. Je n’avais pas prévu que les contrôleurs m’attendraient en bas du quai ! Ni une ni deux, j’ai fondu en larmes en baragouinant que je ne savais pas, que je n’avais pas fait attention aux histoires de zones… Je pense que c’était crédible vu que le charmant contrôleur m’a dit que c’était bon pour cette fois. Ouf ! » Nathalie, 34 ans
Un rab de coulis caramel sur ma glace
« Je ne pleure pas souvent. Mais l’autre jour, quand mon chéri m’a dit qu’il voulait faire une pause, je me suis transformée en véritable fontaine. Du coup, quand je suis allée m’acheter un Sunday pour noyer mon chagrin dans le sucre, la jeune fille a mis triple ration de coulis caramel : pas aussi savoureux qu’un chéri, mais suffisamment pour reprendre un peu du poil de la bête » Maeva, 27 ans
Une entrée à Roland Garros
« C’est arrivé une fois et une seule : j’ai pu entrer à Roland Garros en me mettant à pleurer ! En vérité, je ne me suis même pas forcée. Après avoir fait des pieds et des mains pour acheter des places sur Internet, celles-ci se sont révélées fausses au moment de rentrer dans l’enceinte du stade, d’où ma crise de nerfs ! Mais comme je m’étais fait avoir par une fraude connue du service d’ordre, ils m’ont fait entrer quand même ! » Sidonie, 42 ans
Une remise en magasin
« Je suis ce qu’on appelle une pleurnicheuse : pour tout et rien, je me mets à chouiner ! Alors quand la vendeuse à la caisse m’annonce que je vais devoir casser mon PEL pour m’offrir cette paire de chaussures, j’ouvre les vannes et hop -20% sur le prix total ! » Myriam, 29 ans
Eviter les contraventions
« Parfois, quand je vois des policiers s’approcher de ma voiture pour me mettre une contravention, j’essaie de les attendrir en me mettant à pleurer. C’est vrai que ça ne fonctionne pas à chaque fois, mais qui ne tente rien n’a rien n’est-ce pas ? » Corinne, 37 ans
Des excuses !
« Vous allez me dire que je vais trop loin, mais quand je veux que mon homme me fasse des excuses quand il n’est pas très sympa, et bien : je pleure ! » Mona, 22 ans
Rentrer plus tôt
« Pleurer pour obtenir quelque chose ? Non, je ne le fais pas trop. Sauf la fois où je voulais rentrer de soirée et que mes amis n’étaient pas hyper pressés. Une bonne crise de larmes et 5 minutes plus tard on était dans un taxi » Nadine, 28 ans
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Source : Marie Claire : Bien-être
